aujopurd'hui je vous presenté le jeux que j'attend le plus pour le debut d'année 2006 , je pense qui sa sera une pure turie , a tous les fan de rpg sauté dessus
Après le succès de la version PC, le studio coréen Softmax, en collaboration avec Banpresto, s’est attaqué à Magna Carta : Tears Of Blood sur PlayStation 2. Codemasters, éditeur du jeu en Europe, a eu la gentillesse de convier PlayFrance à une session de présentation ce matin même. Choi Yeon-Kyu, responsable du projet MC-Softmax, et Hyung-Tae Kim, designer de son état, nous ont également honoré de leur présence.
Le scénario
La Grande Migration
Laminés par les guerres interminables qu’ils se livraient et par la “Fossilisation”, maladie qui pétrifiait leurs corps, Les humains prirent la mer à la recherche d’une nouvelle terre, malgré les difficultés imposées par une vie nomade. La famine, la maladie et les naufrages firent leur lot de victimes, mais les survivants atteignirent pleins d’espoir une terre située à l’autre bout de la mer. A la misère de la traversée succédèrent les richesses de cette nouvelle contrée. Les survivants avaient fait le choix de rompre avec leur histoire et entamèrent ce qu’ils appelèrent la “nouvelle ère”.
La guerre entre humains et Yason
Le nom du continent où les hommes posèrent pied était “Efferia”, il était déjà peuplé d’êtres ressemblant aux humains : les “Yason”. Les deux races coexistèrent d’abord pacifiquement, mais les premiers heurts ne tardèrent pas à survenir.
La population des humains récemment établis à Efferia grandit rapidement et avec elle, la taille du territoire qu’ils occupaient. Les humains étaient en quête permanente d’espace vital. Ce comportement n’était pas compréhensible pour les Yason, qui surveillaient cette expansion d’un œil hostile. De multiples querelles et divisions éclatèrent entre humains et Efferiens sur tout le continent. Une haine mutuelle grandit entre les deux peuples et de multiples incidents entraînèrent rapidement la guerre. L’histoire des humains et des Yason ne fut alors marquée que par l’hostilité, la haine et les bains de sang.
Nouvelle haine, nouvelle guerre
Depuis le scellement de l’arbre de la “Lumière du Salut” par les Huit Héros, les Yason n’ont plus accès au Chi et nombre d’entre eux ont été touchés par le “Rhuma”, maladie qui transforme leur corps en une substance semblable à de l’écorce. Mais ils ne sont pas tous tombés malades : certains d’entre eux ont acquis de nouveaux pouvoirs. Ils se font appeler les “Blastormes”. Avec leur apparition, la guerre qui oppose les humains aux Yason pourrait connaître un nouveau tournant.
Du côté des humains, un groupe de mercenaires ayant perdu leurs proches dans la guerre contre les Yason s’est formé : les Larmes de Sang. Leur chef, Calintz, est taraudé par un ardent désir de se venger des Yason. Les événements vont le remettre sur le chemin de son ami d’enfance Agreian, commandant en chef de l’armée des Alliés. Amila, reine des Yason a fait échouer lamentablement la contre-offensive humaine. Dans la confusion de la retraite des troupes après la bataille, Calintz rencontre Reith, une amnésique, et reçoit de la part d’Agreian une mission d’importance capitale qui décidera de l’issue de la guerre. Les Larmes de Sang ne sont qu’au début des aventures qui vont les placer au cœur du conflit entre humains et Yason.
Dans Magna Carta – Tears Of Blood, vous incarnez donc Calintz, chef de cette escouade militaire, prêt à tout pour se venger.
Présentation du jeu
Le responsable du projet a commencé par une petite présentation de la société Softmax et de son jeu, le premier sur Playstation 2. Avant tout destiné au marché asiatique, le succès est au rendez-vous mais, à la grande surprise du studio de développement, les Etats-Unis et l’Europe manifestent rapidement leur intérêt pour ce soft. Pourquoi un tel engouement ? Début de réponse :
Visuellement très agréable à l’œil, le titre dispose d’une réalisation convaincante avec notamment des effets de lumière sublimes. Mais le joueur posera surtout son regard sur le design et plus particulièrement sur celui des personnages. Toute la charte graphique est basée sur la culture coréenne et le responsable du projet avoue avoir eu quelques craintes vis-à-vis du public occidental plus habitué à voir des guerriers avec des armures et qui combattent par la puissance de leur arme alors que Carlintz comprendra que la victoire finale relève plus du spirituel que du matériel.
Manette en main, on incarne donc Carlintz, le leader des Larmes de Sang pour les phases d’exploration et de dialogues. Exit la caméra libre, on a le droit à des plans fixes, c’est un peu déroutant au début mais on s’y fait très vite. De ce côté-là on retrouve les éléments classiques d’un RPG : level-up, items pour renforcer ses pouvoirs, équipements à trouver, on note aussi la possibilité de gérer les relations avec les membres de son équipe en leur parlant ou en leur offrant des cadeaux, ce qui aura des conséquences sur le champ de bataille bien entendu.
Votre avatar dispose d’un champ d’action représenté par un léger rayon lumineux autour de lui. Un champ plus ou moins grand selon votre mode de déplacement. Par exemple lorsqu’il court, ce champ est très petit et vous n’apercevez vos ennemis (ou tout autre élément comme des coffres à ouvrir) que tardivement ; par contre dans l’autre mode le personnage marche plus lentement mais son champ s’étend et vous permet de visualiser vos adversaires au loin, idéal pour attaquer par surprise ou esquiver.
Le déroulement d’un combat se situe à mi-chemin entre le temps réel et le tour par tour. Vous pouvez effectuer une action une fois un certains laps de temps écoulé et selon divers paramètres vous pouvez attaquer plusieurs fois avant que l’ennemi ne contre-attaque. Un léger temps d’adaptation se révèle nécessaire pour comprendre toutes les subtilités du mode de combat. Si vous êtes dans une zone montagneuse près d’un volcan et que vous disposez d’une magicienne capable de lancer des boules de feu alors sa puissance s’en trouvera décuplé. On retrouve en haut à gauche de l’écran de jeu, un système de lettres pour qualifier son environnement (A = Air, E = Earth, W= Water, etc….) et ainsi gérer son équipe de combattants. Entre les champs d’actions, les jauges d’attente, les trois types d’attaqConclusionues, l’environnement qui influe sur les caractéristiques de vos combattants, il y a de quoi se sentir perdu. Rassurez-vous, on arrive à assimiler le tout après quelques combats.
conclusion
Prévu pour la fin du mois de février en Europe, Magna Carta : Tears of Blood propose une expérience de jeu unique en combinant un design hors du commun et des éléments de RPG classiques. Un grand merci à Choi Yeon-Kyu et à Hyung-Tae Kim pour cette présentation fort sympathique et à Codemasters pour cette invitation chaleureuse.